17 heures, je suis à mon bureau ma nouvelle collection est enfin arrivée, j'avais donc beaucoup de boulot, mais je devais aussi m'occuper des enfants, puisque Aaron était partie 3 jours auparavant pour Alaska. Quand le téléphone avait retentit, Brooke se doutait qu'ils seraient séparés, mais j'avais appris avec le temps, que ça faisait partie de son boulot qu'il n'avait pas le choix. Donc pendant ce temps là, je m'occupais de la maison et des enfants, rassurant plus particulièrement Jack qui trouvait l'absence de son père très lourd. Faut dire, que Sawyer aussi était affectée, mais beaucoup moins puisque ce n'était pas son père biologique. Heureusement que les téléphones existent, à tous les soirs, il nous téléphonait et à chaque fois, je ressentais du bien être, d'entendre sa voix me rassurait, avec le métier qu'il faisait sa vie était très souvent voir constament en danger. Je ne devais pas penser à ça, demeurant possitive même si ça me rendait complétement folle. Bref, toujours installée dans mon petit coin, finalisant les dernières touches d'un tout nouveau croquis. J'étais tellement concentrée que j'en fronçais les sourcils, plissant le nez. La boutique était fermée pour l'après-midi, je désirais avec du temps pour moi. Soudainement, une voix me fit sortir de ma rêverie, je relevai les yeux et un immense sourire vint se loger à mes lèvres. Il était rentré! Aussitôt elle se leva et se précipita dans ses bras, le serrant très fort contre elle. À un point tel, qu'elle aurait pu l'étrangler. Elle se détacha de lui, et prit son visage entre ses mains, puis le dévisage les yeux brillants le coeur battant:

«T'es enfin rentré... Tu m'as manquée!»

C'est fou, comme il m'avait manqué. Je captura ces lèvres gardant mes mains sur ces joues. Pour un baiser tendre mais remplis de passion. Comme si j'avais peur que sa présence ne soit pas réelle. Un sourire apparut sur mes lèvres qui étaient toujours appuyé contre les siennes. Je m'amusais à chercher sa langue. Pour rendre le baiser plus langoureux. Heureusement qu'il y avait personnes dans la boutique xD. Une de mes mains descendit dans son cou. J'avais encore ses papillons comme la première fois, qu'il m'avait embrassé, et j'espérais ressentir ça encore longtemps.

Après ce baiser passionné, Aaron pris la paroles, mes yeux se plongèrent dans les siens je le regardais avec un sourire en coin ne comprenant pas trop où il voulait en venir.

-Tu m'as terriblement manquer aussi... D'ailleurs j'ai un petit quelque chose, pour toi, pour moi et pour nous quoi. Que dirais-tu de passer trois semaines, avec moi, uniquement moi, sans coup de téléphone du bureau, sans magasin à ouvrir, à profiter l'un de l'autre à longeur de journée, sans être déranger et...

Puis à la fin de sa phrase, il sortit quelque chose de sa poche, mon visage s'illumina quand mon regard se posa sur les deux billets. Puis il reprit la parole, mon sourire devint extrêmement grand.

─ Et surtout au milieux de l'océan, fêtant nos noces, et rattrapé les moments que l'on as pas eu tout les deux depuis que nous sommes mariés.

J'hôchai la tête sans un mot, c'était ma façon d'approuver. J'étais tellement emballée que je n'avais pas de mots pour décrire ce que je ressentais en ce moment. Il arrivait toujours à me surprendre. Il appuya son front contre le mien, ce qui me fit sourire doucement. Je fermai les yeux quelques secondes, profitant de le sentir près de moi. Puis mes yeux croisèrent les siens à nouveau et je ne pu m'empêcher de demander emballer par tout ça:

«On part quand?» Je pris délicatement un des billets dans ma main, et le regarda. L'image de présentation était à faire rêver. Je m'imaginais déjà la-bàs dans les bras de mon mari, sur le pont du bâteau à discuter et décompresser de nos boulots chargés au quotidien. Soudainement, j'eus une pensée pour les enfants, qui allait s'occuper d'eux pendant nôtre escapade? Je ne pouvais pas m'empêcher d'y penser, et qui allait s'occuper de faire rouler ma boutique en mon absence? Je lui demandai donc: «Qui gardera les enfants? Parce que 3 semaines c'est beaucoup... Et je dois également penser à qui se chargera de prendre le relais pour ma boutique.» Je me détachai donc de lui, et marcha jusqu'à mon bureau pour regarder mon agenda. Qui était remplis à rabord depuis un certain temps. J'avais pas à chialer au contraire, j'étais heureuse que ma boutique fonctionne bien, mais parfois je ne savais plus trop où donner de la tête. Les yeux rivés sur mon agenda je demandai: « Sinon, ton patron accepte que tu partes comme ça, 3 semaines avec la plus belle des femmes? Des idées pour que tu veuilles plus jamais revenir.. » Un sourire apparut sur mes lèvres, légèrement amusée par mes propres propos. Je le regardai de nouveau, le laissant cette fois s'exprimer.

Il avait raison, je devais déstressée, après tout il était rare, que je prennes des vacances. Je crois jamais en avoir pris depuis que j'ai ouvert mon magasin, vous imaginez? De plus, nous avions besoin de se retrouver lui et moi, et de décrocher de la vie quotidienne. J'eus un sourire amusée toujours face à mon agenda, quand il m'annonça que son frère les garderait. J'avais vue une ou deux fois son frère, c'était un charmant jeune homme. Il m'avait tout de suite mis à l'aise, donc quand j'y pensais bien, les enfants pouvaient bien être sous sa responsabilitée, de plus les enfants semblaient bien l'aimer. Y'avait pas à dire, mon mari savait comment me convaincre, j'éclatai de rire quand il m'annonça que pour mon magasin j'allais devoir me trouver une amie. Des amis, j'en manquai pas étant chanceuse sur ce point, mais qui allait accepter pendant 3 semaines, silencieuse je me mis à réfléchir, puis je sentis mon homme derrière moi, je devins alors toute détendue, et je me mis à rire à ces paroles. Le fait de nous perdre sur une île déserte, c'était extrêmement romatique comme scénario (aa) vivre d'amour et d'eau fraîche, comme tarzan et jane. je profitai du baiser qu'il m'offrit, puis il s'excusa de ne pas avoir été aussi présent, je me tournai avec difficultés face à lui, ce qui me fit rire, et je posai une main contre sa joue, l'a lui caressant puis je fis un petit sourire.

«Chéri, tu n'as pas à t'en faire. C'est ton job, on peut pas faire autrement... C'est pourquoi 3 semaines avec toi, ne sera pas de refus.» Mon sourire prit de l'expension. C'était ma façon à moi de dire que j'acceptai son cadeau, et après tout il s'était sûrement démener pour trouver ces billets. Et j'avais besoin de me ressourcer, et passer du temps avec lui. Je posai mes mains contre son torse puis je lui offris un doux baiser (a) Haaan comme ces lèvres m'avaient manqués. Ce dernier se fit un plaisir de prolonger, ce qui me fit sourire.